L’équerre :
L’équerre permet les tracés perpendiculaires, c’est à dire à 90°. Lorsque que l’on à une pièce à couper, il est judicieux de tracer deux traits. Le premier sur la face supérieur et le second sur le chant qui est diriger vers soi.
Le contrôle de l’équerre : Il est important de vérifier régulièrement la précision de l’équerre. Pour cela, plaquez la contre un chant droit d’une pièce de bois ou même de métal, tracez un trait de crayon et retournez ensuite l’équerre. La lame devra se retrouver parfaitement parallèle au tracé, si ce n’est pas la cas alors il faudra songer à remplacer votre équerre.
Le trusquin :
Le trusquin permet le tracer de traits parallèles, très utile pour le tracer de tenons ou de mortaises. Cet outil est d’un emploi assez délicat et d’une prise en main demandant un minimum d’habitude.
Quelques exemples d’utilisation d’un trusquin :
-Réalisation d’une mortaise.
-Réalisation d’un tenon.
La pointe à tracer:
La pointe à tracer permet de marquer des traits sur une pièce de bois. La pointe coupe les fibres du bois sans les arracher à condition de vérifier sont parfait affûtage.
La fausse équerre :
La fausse équerre permet le report des angles variables lors d’un traçage. Elle s’avère fort utile pour les coupes d’onglets par exemple.